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Violons, Vuillaume - un maître luthier français du XIXe s.
L'exposition de la Cité de la musique consacrée à Jean-Baptiste Vuillaume, figure centrale de la facture instrumentale française du siècle dernier, nous invite à plonger au cours d'une époque où la pratique musicale connaît un développement sans précédent (amateurs toujours plus nombreux, instruments fabriqués en quantités toujours plus importantes). C'est donc à un voyage à travers l'ébullition d'un XIXe siècle tiraillé entre sa fascination pour le passé et son désir insatiable de progrès, que nous convie l'exposition, mais aussi à comprendre ce qui a fait des violons de Jean-Baptiste Vuillaume les premiers de leur temps. (http://mediatheque.cite-musique.fr)
Ici-bas - François Daireaux
L'artothèque de Caen consacre un dossier à "Ici-bas", une installation photographique de François Daireaux. Elle se compose d’un ensemble de 20 photographies que l’artiste a réalisées récemment au Pakistan et d’un autre ensemble de 20 « skizzes » disposées ici-bas, à même le sol. (d'après http://www.artotheque-caen.net)
Le scandale de la réalité : l'"Olympia" d'Édouard Manet
Le site "L'Histoire par l'image" propose l'analyse de l'"Olympia" d'Édouard Manet. Celle-ci ouvre la voie à la modernité, aux images d’une réalité contemporaine non idéalisée et inaugure le thème artistique et littéraire de la prostituée vue sous l’angle du réalisme. L'étude comporte trois parties : - le contexte historique qui permet de situer l'époque dans laquelle s'inscrit l'oeuvre, - l'analyse de l'image décrit l'oeuvre et dégage la signification des éléments offerts au regard de l'observateur, - l'interprétation met en évidence l'apport historique de l'image. Une animation accompagne l'étude. (d'après www.histoire-image.fr)
Le Roi des masques de Wu Tian-Ming
Découvrez le film "Le Roi des masques" de Wu Tain-Ming, grâce à ce dossier du Centre national du cinéma et de l'image animée réalisé dans le cadre du dispositif "École et cinéma".
Najia Mehadji [archive]
À l’occasion de l'exposition «elles@centrepompidou» (2009-2010), l’Ina et le Centre Pompidou, présentent des portraits d’artistes, une sélection d’œuvres majeures exposées dans le Musée et des archives audiovisuelles de l'Ina. Ces images nous présentent l'exposition "Paris-Casa, suites marocaines" : dans le cadre de l'année du Maroc (1999), 15 peintres marocains, dont Najia Mehadji, exposent leurs oeuvres au couvent des Cordeliers à Paris. Source : Ina / Centre Pompidou
L'académisme
Le service éducatif du musée Fabre de Montpellier définit, dans ce document, le terme d'académisme. Celui-ci fait référence aux principes dispensés dans des écoles d’art dûment organisées, aux attitudes qui en découlent, et aux oeuvres d’art, généralement ambitieuses, qu’ils génèrent. (d'après http://museefabre.montpellier-agglo.com)
Inde du Nord - Gloire des princes, louanges des dieux
Théâtre d'une histoire mouvementée dont elle sut s'enrichir en préservant ses valeurs originelles, l'Inde possède aujourd'hui un héritage unique, omniprésent au sein d'une vie sociale et culturelle diversifiée à l'extrême. Cette exposition de la Cité de la musique est consacrée au patrimoine musical de l'Inde du Nord depuis les premiers sultanats jusqu'au début du vingtième siècle et propose un voyage au coeur de l'Inde d'autrefois. (http://mediatheque.cite-musique.fr)
Le portrait (Musée Fabre de Montpellier)
À l’époque où Bruyas constitue sa collection, les peintres perpétuent la tradition du portrait, et les critiques poursuivent, eux, les querelles qui ont émaillé son histoire. C'est ce que montre ce document réalisé par le service éducatif du musée Fabre de Montpellier. (d'après http://museefabre.montpellier-agglo.com)
L'après-midi bourgeoise ou La famille Terrasse, Pierre Bonnard (1900)
Le musée d'Orsay présente une toile de Pierre Bonnard, "L'après-midi bourgeoise" ou "La famille Terrasse", peinte en 1900. La scène représente la famille du compositeur Claude Terrasse, beau-frère de l'artiste, devant la maison du Clos au Grand Lemps (Isère), par une après-midi ensoleillée. Cette oeuvre appartient à une période charnière de la carrière de l'artiste, alors qu'il abandonne les tendances japonisantes et Art nouveau caractéristiques de sa première manière. Une bibliographie, placée en "Notice détaillée" complète cette présentation. (D'après www.musee-orsay.fr)
Les raboteurs de parquet, Gustave Caillebotte (1875)
Le musée d'Orsay présente "Les raboteurs de parquet" de Gustave Caillebotte. Ce tableau constitue une des premières représentations du prolétariat urbain. Présenté au Salon de 1875, le tableau est refusé par le Jury, sans doute choqué par ce réalisme cru. Le jeune peintre décide alors de se joindre aux impressionnistes et présente son tableau à la seconde exposition du groupe en 1876. Une bibliographie, placée en "Notice détaillée" complète cette présentation. (D'après www.musee-orsay.fr)
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