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« Figures et portraits »
Portraits officiels ou intimes, de célébrités ou d'anonymes, cet accrochage de photographies des collections du musée d'Orsay évoque l'évolution tant stylistique que thématique du portrait photographique de 1840 à 1914, de l'invention de Daguerre à l'apparition de la photographie instantanée, en passant par l'oeuvre de Nadar. (www.musee-orsay.fr)
« La Comtesse de Castiglione par elle-même »
Le nom de Virginia Oldoini, comtesse de Castiglione, est lié aux intrigues politiques et galantes du Second Empire, aux fastes de la Cour des Tuileries et au rayonnement d'un Paris cosmopolite, capitale de la mode et des plaisirs. L'exposition du musée d'Orsay de 1999 met en valeur, à travers des photographies, la personnalité narcissique et l'esprit novateur de la Castiglione dans l'élaboration de ses portraits. Elle est à l'origine de quelques cinq cents prises de vues réalisées au cours d'une collaboration d'une quarantaine d'années (1856-1895) avec le photographe de la Cour impériale, Pierre - Louis Pierson. (www.musee-orsay.fr)
Femme nue debout de face de François-Rupert Carabin
Le musée d'Orsay présente une photographie de François-Rupert Carabin. Entre 1890 et 1914, Carabin produit plus de 600 clichés, essentiellement des nus féminins, qui constituent un fond d'attitudes et de postures originales pour son travail de sculpteur. Dans cette production, l'originalité des poses et des attitudes contraste vivement avec les habituelles photographies pour artistes. (D'après www.musee-orsay.fr)
Photographie spirite (médium et spectres)
Le musée d'Orsay présente une photographie d'anonyme du début du XXe s issue d'un album provenant des États-Unis . Il s'agit d'un exemple de photographie dite spirite très à la mode à partir des années 1890. Les résultats photographiques sont extrêmement intéressants, révélant des images fantomatiques. Elle est pratiquée par des pseudo-scientifiques regroupés dans des associations ou, comme c'est peut-être le cas ici, par des amateurs. La photographie peut être agrandie et l'album d'où provient cette image est consultable. (D'après www.musee-orsay.fr)
Roger Ballen, dans la chambre d'ombres
Ce dossier de la BnF se propose de faire découvrir à un large public Roger Ballen, photographe sud-africain d’origine américaine, très célèbre dans le monde anglo-saxon depuis la publication de son troisième livre "Platteland, Images from Rural South Africa", en 1994. Il construit une œuvre qui dépasse le point de vue documentaire qu’elle semblait tout d'abord adopter, pour s’élever à un style à part entière, à l'écart des modes, troublant et énigmatique. Sa conception de la photographie le conduit à une exploration des recoins de l’âme. (D'après www.bnf.fr)
Eugène Atget et le pittoresque Montmartrois
Les photographies du 18e arrondissement prises par Atget au tournant du 20e siècle, témoignent de la spécificité de l’environnement montmartrois à cette époque. C'est ce que propose d'analyser le site "L'Histoire par l'image" dans une étude comportant trois parties : - le contexte historique qui permet de situer l'époque dans laquelle s'inscrit l'oeuvre, - l'analyse de l'image décrit l'oeuvre et dégage la signification des éléments offerts au regard de l'observateur, - l'interprétation met en évidence l'apport historique de l'image. (d'après www.histoire-image.fr)
The parting of Sir Lancelot and Queen Guinevere de Julia Margaret Cameron
Le musée d'Orsay présente une photographie de Julia Margaret Cameron, "The parting of Sir Lancelot and Queen Guinevere". Julia Margaret Cameron, illustre de photographies l'un des ouvrages de l'écrivain Alfred Tennyson. Il s'agit des Idylles du roi, recueil de poèmes inspirés des légendes arthuriennes. Dans ces scènes, Julia Cameron se montre très proche des préraphaélites. Elle est la première à faire accéder la photographie à un domaine d'où celle-ci semble au départ exclue: celui de l'imaginaire, de la fiction et du beau idéal. Une bibliographie dans la notice complète accompagne cette présentation. (D'après www.musee-orsay.fr)
« Italiennes modèles : Hébert et les paysans du Latium »
Dans le cadre du centenaire de la mort du peintre Ernest Hébert (1817-1908), le musée Ernest Hébert de Paris et celui de La Tronche proposent une exposition au musée d'Orsay en 2009 autour d'un thème particulièrement cher à l'artiste : la représentation des paysans italiens. Dans leur costume traditionnel, les modèles vivants ont un charme presque "exotique", voire sauvage. Avec une biographie de l'artiste, la présentation détaillée de l'exposition développe différentes facettes présentant également des photographies de Gabrielle Hébert, la femme de l'artiste. (www.musee-orsay.fr)
Portrait du peintre Gustave Courbet de Étienne Carjat
Le musée d'Orsay présente un portrait photographique de Gustave Courbet par Etienne Carjat. En 1860, lorsque Courbet pose pour le portrait présenté ici, il est âgé de quarante ans, c'est un peintre connu, déjà installé. Ami de Carjat, Il fait plus d'une dizaine de portraits au cours de la décennie 1860, soulignant l'intérêt que Courbet prête à sa propre image. (D'après www.musee-orsay.fr)
« Voir l'Italie et mourir. Photographie et peinture dans l'Italie du XIXe siècle »
Depuis la Renaissance, le voyage en Italie constitue une étape essentielle de la formation des artistes, A partir des années 1850, des photographes ouvrent des ateliers ou séjournent à Rome, à Florence, à Naples, à Venise... aux côtés des peintres, sculpteurs et architectes. A la même époque, le développement du tourisme fait naître chez les voyageurs l'envie de rapporter des souvenirs des lieux visités, entraînant la multiplication des vues d'églises, de palais, de fontaines. L'exposition du musée d'Orsay de 2009 présente des photographies des collections du musée d'Orsay, des tableaux et des sculptures riches de ces témoignages. (www.musee-orsay.fr)