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Expo 1925 : journal du jeune licier
En 1925 à Paris, une immense exposition d’Arts décoratifs est aménagée dans le Grand Palais et dans des pavillons construits pour l’occasion par les grands décorateurs de l’époque. De très nombreuses tapisseries sont visibles dans le mobilier, en couverture de fauteuils, de chaises, de canapés, en tapis ou en textiles décoratifs sur les murs. L’exposition de plusieurs de ces tapisseries au musée d’Aubusson en 2012 a permis de découvrir ces oeuvres surprenantes et de style parfois très moderne. Le Journal du jeune licier présente de façon ludique les oeuvres et les artistes présents dans l’exposition et constitue un support pédagogique très riche.
Le salon du bois, Exposition universelle de 1900
L’ouverture du musée des Arts décoratifs – qui devait coïncider avec l’Exposition universelle de 1900 – ayant été retardée, on confia au décorateur et collectionneur Georges Hœntschel la décoration du pavillon de l’Union centrale des arts décoratifs à l’Exposition universelle, sur le thème d’un cabinet d’amateur. (www.lesartsdecoratifs.fr)
Archéologie, architecture et ébénisterie : les meubles de la villa Kérylos à Beaulieu-sur-Mer
La villa Kérylos fut construite à Beaulieu-sur-Mer entre 1902 et 1908 par Emmanuel Pontremoli pour l'helléniste Théodore Reinach, à la manière d'une maison antique. L'architecte fut également le concepteur du décor et du mobilier, inspirés par l'Antiquité grecque et romaine, y compris les objets usuels, comme la vaisselle et l'argenterie. Les meubles, pour la plupart en bois exotique, ont été réalisés par l'ébéniste Louis-François Bettenfeld. Cet article de la revue "In Situ" : Revue des patrimoines, réalisée par la Sous-direction de l'archéologie, de l'ethnologie, de l'inventaire... du ministère de la culture étudie l'ensemble mobilier dont la qualité d'exécution et les formes se rapprochent le plus possible des modèles antiques
Exposition Borek Sipek à Dijon
Disponible sur le site L'Europe des Cultures (INA) qui retrace une grande fresque multimédia sur les 50 ans de création artistique et de vie culturelle des 27 pays de l'Union européenne, cette archive audiovisuelle de 1993 est extraite de l'émission Le journal de Bourgogne. Pour la première fois, le travail du designer et architecte Borek Sipek est présenté en France à la galerie Epokhe à Dijon qui lui consacre une exposition, «L'Objet et le rêve». Borek Sipek évoque son parcours et sa conception de l'architecture dans un contexte de crise paneuropéenne. (D'après www.ina.fr)
Philippe Starck
Ce dossier du Centre Pompidou consacré à Philippe Starck propose de découvrir la démarche du designer à travers une sélection d'œuvres de la collection design du Musée national d’art moderne-Centre de création industrielle. La constitution de la collection design repose sur une double conception : rendre compte du travail de recherche des designers qui ont marqué leur temps et témoigner du rôle des entreprises dans la réalisation industrielle d’un projet. (d'après http://www.centrepompidou.fr/)
Splendeurs des courtisanes
Présentation du monumental lit de Valtesse de La Bigne, courtisane très en vue sous la Troisième République qui a été immortalisée par Zola dans Nana. La quête du luxe que recherche une nouvelle bourgeoisie fortunée a favorisé la production de meubles en bronze doré ou patiné qui évoquent les bois dorés du XVIIIe siècle. (www.lesartsdecoratifs.fr)
Christine Maigne - Rémanence, installation
L'artothèque de Caen consacre un dossier à "Rémanence". Christine Maigne utilise des lieux préexistants et y développe un monde organique latent qui croît et apparaît aux yeux du visiteur sous la forme surprenante de pilosité noire sauvage, qui, telle une végétation livrée à elle-même s’apprête à envahir l’espace. L’artiste joue ici sur l’ambiguïté de l’organique, dans un intérieur que l’homme aurait déserté. l'installation réalisée par Christine Maigne. (d'après http://www.artotheque-caen.net)
Console du grand salon de l'hôtel de Païva d'Albert-Ernest Carrier-Belleuse
Le musée d'Orsay présente une console créée par l'artiste Albert-Ernest Carrier-Belleuse. L'hôtel parisien de la marquise de Païva, situé avenue des Champs-Elysées, constitue l'un des plus beaux exemples de l'architecture privée et de la décoration intérieure à l'apogée du Second Empire. Quatre consoles, entièrement faites de marbre et de bronze, qui rythmaient les murs du grand salon. Le plateau est supporté par deux atlantes, s'inspirant de modèles italiens du XVIIe s. La collaboration entre Carrier-Belleuse et le jeune Dalou fait hésiter sur l'attribution des atlantes au maître ou à son assistant. Mais le style raffiné de ces figures sensuelles et un peu maniérées évoque bien plus pourtant l'art souple et élégant de Carrier-Belleuse que les formes plus robustes de Dalou. (D'après www.musee-orsay.fr)
Le phénomène des expositions universelles
En créant une émulation internationale, les organisateurs des Expositions universelles ont favorisé la production de « chefs-d’œuvre » par lesquels les fabricants tentaient d’obtenir une médaille d’or. Les prouesses techniques, les recherches d’originalité plastique ont laissé des témoignages surprenants. (www.lesartsdecoratifs.fr)
Les arts décoratifs français au XVIIe siècle
Le XVIIe siècle en France a été marqué par les règnes de trois souverains importants : Henri IV (1553-1610), Louis XIII (1601-1643) et Louis XIV (1638-1715). Avec ces trois rois Bourbon, les arts décoratifs sont devenus un moyen d'affirmer la monarchie et de montrer la puissance du royaume. Découvrez, grâce à ce parcours de visite, les objets d'art du XVIIe siècle conservés au musée du Louvre. (D'après www.louvre.fr)