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Apollon Sauroctone (Oeuvre romaine d'époque impériale Ier-IIe siècle après J.C. (?), d'après un original créé vers 340 avant J.C.)
Créé vers 350-340 av. J.-C., l'Apollon Sauroctone ("tueur de lézard") du Louvre est l'une des oeuvres les plus accomplies du sculpteur athénien Praxitèle. Fidèle à l'héritage classique, le sujet est cependant novateur et le style audacieux : Apollon est représenté comme un adolescent prêt à attraper le lézard qui grimpe le long de l'arbre. Le groupe, maintes fois copié à l'époque romaine, évoque les vertus purificatrices du dieu et rappelle, sur un mode apaisé, sa lutte contre le serpent Python. (D'après www.louvre.fr)
Torse du type du "Diadumène" (Oeuvre romaine d'époque impériale (première moitié du IIe siècle après J.C. ?), d'après un original en bronze créé vers 440-430 av. J.-C. par Polyclète)
Ce torse conservé au Louvre appartient à une série abondante de répliques antiques dans lesquelles on s'accorde à retrouver les échos du Diadumène ("celui qui s'attache" un bandeau autour du front), bronze réalisé vers 440-430 av. J.-C. par Polyclète. Ce dernier s'est intéressé au type masculin et à sa recomposition suivant un système de calculs savants qu'il a théorisé dans son traité, le Canon. Le Diadumène est le fruit de cette démarche intellectuelle fondamentale dans l'histoire de la sculpture grecque. (D'après www.louvre.fr)
Aphrodite accroupie (Oeuvre romaine d'époque impériale (Ier - IIe siècle ap. J.-C.))
Le thème de l’Aphrodite au bain, hérité du IVe siècle av. J.-C., rencontre un grand succès auprès des artistes de l’époque hellénistique qui se plaisent à mettre en scène la nudité féminine. Le motif est souvent repris par les copistes romains pour orner les jardins et les thermes. La déesse est alors parfois associée à l’Amour. La Vénus de Sainte-Colombe, conservée au Louvre, est une des nombreuses répliques antiques d’une Aphrodite accroupie exécutée peut-être par Doidalsès de Bithynie au IIIe siècle av. J.-C. (D'après www.louvre.fr)